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Les programmes d'activité physique peuvent inclure de la marche, des exercices aquatiques, des exercices d'équilibre ou de flexibilité et de musculation. Ces exercices peuvent être faits individuellement à domicile ou en groupe. L'activité physique devrait produire une sensation de chaleur et accélérer votre respiration. Vous devriez être en mesure de tenir une conversation pendant l'exercice, mais pas de chanter.
Les proches aidants qui font régulièrement de l'activité physique risquent moins de ressentir du stress que ceux qui ne le font pas.
Devis : Revue systématique de 14 études, incluant 10 études randomisées contrôlées et 4 devis quasi expérimentaux; 10 études portaient sur l'impact de l'activité physique sur le soutien du proche aidant; Participants : 12 à 137 proches aidants par étude; les receveurs de soins étaient des patients avec une démence, un cancer, une psychose, un accident vasculaire cérébral ou tout autre handicap ou maladie; Intervention : Un mélange d'activités physiques incluant la marche, le yoga, la méditation, l'exercice aérobique, le tai-chi, l'entraînement musculaire, des étirements et/ou des activités physiques de la vie quotidienne comme le jardinage, des travaux ménagers, le fait de monter les escaliers et la danse. La durée des activités était de 6 à 12 mois et incluait les patients qui participaient à un cours hebdomadaire et ceux qui faisaient de l'activité physique au quotidien; Suivi : 3 à 12 mois.
Les proches aidants qui font régulièrement de l'activité physique risquent moins de ressentir des symptômes dépressifs que ceux qui ne le font pas.
Devis : Revue systématique de 14 études, incluant 10 études randomisées contrôlées et 4 devis quasi expérimentaux; 10 études portaient sur l'impact de l'activité physique sur le soutien du proche aidant; Participants : 12 à 137 proches aidants par étude; les receveurs de soins étaient des patients avec une démence, un cancer, une psychose, un accident vasculaire cérébral ou tout autre handicap ou maladie; Intervention : Un mélange d'activités physiques incluant la marche, le yoga, la méditation, l'exercice aérobique, le tai-chi, l'entraînement musculaire, des étirements et/ou des activités physiques de la vie quotidienne comme le jardinage, des travaux ménagers, le fait de monter les escaliers et la danse. La durée des activités était de 6 à 12 mois et incluait ceux qui participaient à un cours hebdomadaire et ceux qui faisaient de l'activité physique au quotidien; Suivi : 3 à 12 mois.
Les proches aidants qui font régulièrement de l'activité physique ont plus de chance de ressentir du bien-être que ceux qui ne le font pas.
Devis : Revue systématique de 14 études, incluant 10 études randomisées contrôlées et 4 devis quasi expérimentaux; 10 études portaient sur l'impact de l'activité physique sur le soutien du proche aidant; Participants : 12 à 137 proches aidants par étude; les receveurs de soins étaient des patients avec une démence, un cancer, une psychose, un accident vasculaire cérébral ou tout autre handicap ou maladie; Intervention : Un mélange d'activités physiques incluant la marche, le yoga, la méditation, l'exercice aérobique, le tai-chi, l'entraînement musculaire, des étirements et/ou des activités physiques de la vie quotidienne comme le jardinage, des travaux ménagers, le fait de monter les escaliers et la danse. La durée des activités était de 6 à 12 mois et incluait ceux qui participaient à un cours hebdomadaire et ceux qui faisaient de l'activité physique au quotidien; Suivi : 3 à 12 mois.
Devis : Revue systématique de 14 études, incluant 10 études randomisées contrôlées et 4 devis quasi expérimentaux; 10 études portaient sur l'impact de l'activité physique sur le soutien du proche aidant; Participants : 12 à 137 proches aidants par étude; les receveurs de soins étaient des patients avec une démence, un cancer, une psychose, un accident vasculaire cérébral ou tout autre handicap ou maladie; Intervention : Un mélange d'activités physiques incluant la marche, le yoga, la méditation, l'exercice aérobique, le tai-chi, l'entraînement musculaire, des étirements et/ou des activités physiques de la vie quotidienne comme le jardinage, des travaux ménagers, le fait de monter les escaliers et la danse. La durée des activités était de 6 à 12 mois et incluait ceux qui participaient à un cours hebdomadaire et ceux qui faisaient de l'activité physique au quotidien; Suivi : 3 à 12 mois.
Sur 100 personnes qui font régulièrement de l'activité physique, environ 15 ont une blessure due à celle-ci.
Devis : Aerobics Center Longitudinal Study (ACLS), une étude longitudinale sur les effets de l'activité physique et la mise en forme sur la santé ayant eu lieu à la Cooper Clinic; Participants : 5 028 hommes et 1 283 femmes âgés de 20 à 85 ans qui ont été recrutés entre 1970 et 1982; Intervention : Activité physique (course/marche/jogging ou programmes de sport intenses); Suivi : 12 mois.
En général, pour ressentir des effets positifs de l'activité physique, les personnes doivent être actives au minimum pendant 3 semaines, soit pendant 20 minutes 3 fois par semaine, ou pendant 2 heures une fois par semaine. Quelle que soit la durée et la fréquence de l'exercice, cela prend du temps.
Les programmes de psychoéducation enseignent au proche aidant les habiletés utiles dans son rôle d'aidant. Ces programmes offrent aussi de l'information sur les problèmes de santé de la personne aidée et présentent les ressources et services disponibles. Ils abordent aussi souvent les stratégies de gestion du comportement et de l'humeur de la personne aidée, et offrent des outils de résolution de problèmes et d'adaptation de l'environnement. La psychoéducation peut être offerte individuellement au téléphone ou sur internet, ou dans un groupe.
Sur 100 proches aidants qui suivent un programme de psychoéducation, 55 ressentent moins de stress grâce à celui-ci.
Le stress est réduit chez : | ||
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97% des proches aidants |
42% des proches aidants |
55% des proches aidants |
Avec | Sans | Impact |
Devis : Méta-analyse de 13 études randomisées contrôles au sujet de la psychoéducation; Participants : 732 personnes âgées avec des handicaps physiques ou des problèmes de santé mentale, des patients ayant eu un accident vasculaire cérébral, des patients ayant un cancer et des patients ayant une démence; Intervention : Psychoéducation; Suivi : Immédiatement et 12 mois après l'intervention.
Sur 100 proches aidants qui suivent un programme de psychoéducation, 5 ressentent une réduction de leurs symptômes dépressifs grâce à lui.
La réduction de symptômes dépressifs est vécue par : | ||
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46% des proches aidants |
41% des proches aidants |
5% des proches aidants |
Avec | Sans | Impact |
Devis: Méta-analyse de 13 études randomisées contrôles au sujet de la psychoéducation; Participants: 732 personnes âgées avec des handicaps physiques ou des problèmes de santé mentale, des patients ayant eu un accident vasculaire cérébral, des patients ayant un cancer et des patients ayant une démence; Intervention: Psychoéducation; Suivi: Immédiatement et 12 mois après l'intervention.
Les recherches actuelles ne montrent pas d'effet de la psychoéducation sur le bien‑être du proche aidant.
Devis: Méta-analyse de 78 études, incluant des études randomisées contrôlées et d'autres devis de recherche, où une condition expérimentale était comparée avec une condition contrôle sans intervention; 10 études portaient sur la psychoéducation, dont 3 études randomisées contrôlées; Participants: De 4 à 2 268 proches aidants par étude (médiane de 24); les receveurs de soins étaient des patients avec des handicaps, des problèmes de santé mentale, un accident vasculaire cérébral, un cancer ou une démence; Intervention: De multiples interventions, dont la psychoéducation, des groupes de soutien et la psychothérapie; Suivi: Immédiatement après l'intervention.
La psychoéducation prend du temps. Jusqu'à présent, les programmes ayant démontré un effet positif nécessitaient 1 à 2 rencontres hebdomadaires et duraient environ 8 semaines. Chaque séance était d'environ 1 heure.
Devis: Méta-analyse de 78 études, incluant des études randomisées contrôlées et d'autres devis de recherche, où une condition expérimentale était comparée avec une condition contrôle sans intervention; 10 études portaient sur la psychoéducation, dont 3 études randomisées contrôlées; Participants: De 4 à 2 268 proches aidants par étude (médiane de 24); les receveurs de soins étaient des patients avec des handicaps, des problèmes de santé mentale, un accident vasculaire cérébral, un cancer ou une démence; Intervention: De multiples interventions, dont la psychoéducation, des groupes de soutien et la psychothérapie; Suivi: Immédiatement après l'intervention.
Les programmes de psychoéducation en groupe requièrent du proche aidant qu'il se déplace vers un lieu éloigné de son domicile.
Les groupes de soutien constituent un espace sécuritaire pour les proches aidants, pour discuter de leurs problèmes, pour célébrer leurs succès et pour partager des stratégies et des idées pour faire face à leurs défis. Il existe des formats variés de groupes de soutien, incluant les rencontres en personne, les téléconférences et les communautés numériques. Les groupes de soutien sont souvent animés par une personne qui partage, ou qui a partagé, l'expérience commune du groupe, mais ils peuvent aussi être animés par un professionnel de la santé, comme un infirmer, un travailleur social ou un psychologue.
Les proches aidants qui participent à un groupe de soutien risquent moins de ressentir du stress que ceux qui n'y participent pas.
Devis: Méta-analyse de 78 études, incluant des études randomisées contrôlées et d'autres devis de recherche, où une condition expérimentale était comparée avec une condition contrôle sans intervention; 10 études portaient sur la psychoéducation, dont 3 études randomisées contrôlées; Participants: De 4 à 2 268 proches aidants par étude (médiane de 24); les receveurs de soins étaient des patients avec des handicaps, des problèmes de santé mentale, un accident vasculaire cérébral, un cancer ou une démence; Intervention: De multiples interventions, dont la psychoéducation, des groupes de soutien et la psychothérapie; Suivi: Immédiatement après l'intervention.
Les recherches actuelles ne montrent pas d'effet de la participation à un groupe de soutien sur les symptômes dépressifs du proche aidant.
Devis: Méta-analyse de 78 études, incluant des études randomisées contrôlées et d'autres devis de recherche, où une condition expérimentale était comparée avec une condition contrôle sans intervention; 10 études portaient sur la psychoéducation, dont 3 études randomisées contrôlées; Participants: De 4 à 2 268 proches aidants par étude (médiane de 24); les receveurs de soins étaient des patients avec des handicaps, des problèmes de santé mentale, un accident vasculaire cérébral, un cancer ou une démence; Intervention: De multiples interventions, dont la psychoéducation, des groupes de soutien et la psychothérapie; Suivi: Immédiatement après l'intervention.
Sur 100 personnes âgées participant à des groupes de soutien, 6 ressentent une amélioration de leur bien-être grâce à ces groupes.
Le bien-être est accru chez : | ||
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6% des proches aidants |
0% des proches aidants |
6% des proches aidants |
Avec | Sans | Impact |
Devis : Étude randomisée contrôlée; Participants : Taille de l'échantillon de 37 proches aidants de personnes âgées ayant une démence; Intervention : Groupes de soutien; Suivi : 3 mois.
Certains proches aidants sont inconfortables de parler devant de grands groupes d'individus.
Devis : Étude de cohorte rétrospective; Participants: 27 proches aidants de personnes âgées vivant avec une démence qui participaient à un groupe de soutien, et 52 qui n'y participaient pas; Intervention: Participation à un groupe de soutien; Suivi: Mesure directe.
Les rencontres de groupe posent des défis à certains proches aidants, tels que :
Devis : Étude de cohorte rétrospective; Participants: 27 proches aidants de personnes âgées vivant avec une démence qui participaient à un groupe de soutien, et 52 qui n'y participaient pas; Intervention: Participation à un groupe de soutien; Suivi: Mesure directe.
Les services de répit visent à soulager le proche aidant de certaines de ses responsabilités. Ces services sont variés: certains offrent des visites à domicile d'un professionnel ou d'un bénévole pour s'occuper du proche pendant quelques heures, alors que d'autres services sont offerts dans un endroit qui accueille la personne aidée et lui offre des activités pour le divertir. Ces répits peuvent durer de quelques heures à plusieurs jours.
Les recherches actuelles montrent que les services de répit ne réduisent pas le stress du proche aidant.
Devis: Méta-analyse de 9 études, incluant 5 études randomisées contrôlées et 4 devis quasi expérimentaux; 8 études, dont 4 études randomisées contrôlées et 4 devis quasi expérimentaux, portaient sur les services de répits; Participants: 21 à 989 proches aidants par étude; les receveurs de soin étaient des patients avec une démence ou une perte d'autonomie; Intervention: Mélange de répit de jour, de répit au domicile, et de forfaits de répits de 10 jours étalés sur 2 semaines à 12 mois, et de fréquencs allant de 1 à 5 fois par semaine; Suivi: Immédiatement après l'intervention.
Sur 100 proches aidants bénéficiant de services de répit, 13 évitent de développer des symptômes dépressifs grâce à ces services.
Le développement de symptômes dépressifs est évité par : | ||
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48% des proches aidants |
35% des proches aidants |
13% des proches aidants |
Avec | Sans | Impact |
Devis : Méta-analyse de 9 études, incluant 5 études randomisées contrôlées et 4 devis quasi expérimentaux; 8 études, dont 4 études randomisées contrôlées et 4 devis quasi expérimentaux, portaient sur les services de répits; Participants : 21 à 989 proches aidants par étude; les receveurs de soin étaient des patients avec une démence ou une perte d'autonomie; Intervention : Mélange de répits de jour au domicile d'une durée de 10 jours sur une période de 2 semaines à 12 mois, à une fréquence de 1 à 5 fois par semaine; Suivi : Immédiatement après l'intervention.
Certains proches aidants trouvent difficile d'abandonner leur rôle d'aidant. Ils peuvent ressentir un sentiment d'échec ou de culpabilité lorsqu'ils prennent conscience du fait qu'ils ont besoin de soutien, surtout s'ils ont une perception négative des services de répit. Leurs perceptions négatives peuvent parfois être dues à une impression que le personnel des services de répit manque de respect à la personne dont ils prennent soin.
Devis : Synthèse qualitative de 70 études primaires; Participants : Proches aidants de personnes de 65 ans et plus; Intervention : Services de répits visant à donner une pause aux proches aidants.
Certaines des personnes aidées peuvent être réticentes à utiliser les services de répit. Elles peuvent refuser de coopérer, ce qui causera plus de stress au proche aidant. Leur réticence peut être due à leur personnalité ou à des préférences sociales. Certaine des personnes aidées se sentent même inconfortables de recevoir des services de répit à domicile.
Devis : Synthèse qualitative de 70 études primaires; Participants : Proches aidants de personnes de 65 ans et plus; Intervention : Services de répits visant à donner une pause aux proches aidants.
Les services de répit peuvent générer du stress et de la confusion chez la personne aidée. Ils peuvent aussi mener à une perte de mobilité si l'exercice physique n'est pas maintenu pendant le répit, ou à l'incontinence si les soins personnels sont plus limités. Ces conséquences peuvent à leur tour générer plus de stress pour le proche aidant.
Devis : Synthèse qualitative de 70 études primaires; Participants : Proches aidants de personnes de 65 ans et plus; Intervention : Services de répits visant à donner une pause aux proches aidants.
Les services de répit ne sont pas disponibles partout. La majorité des services comportent aussi des coûts (environ $25/h).
La psychothérapie vise à améliorer le bien-être et la santé mentale d'un individu. Elle consiste à parler avec un psychiatre, un psychologue ou un autre professionnel de la santé mentale. Durant la psychothérapie, vous acquérez des connaissances sur votre situation, sur votre humeur, sur vos sentiments, sur vos pensées et sur vos comportements. Il y a différentes techniques de psychothérapie. La psychothérapie peut avoir lieu en personne (individuellement, avec des couples, ou en groupe), par téléphone ou par internet.
Les proches aidants qui font d'une psychothérapie sont moins à risque de ressentir du stress que ceux qui n'en font pas.
Devis : Méta-analyse de 78 études, incluant des études randomisées contrôlées et d'autres devis de recherche, où une condition expérimentale avec traitement était comparée avec une condition contrôle sans traitement; 13 études portaient sur la psychothérapie, incluant 8 études randomisées contrôlées; Participants: Entre 4 et 2 268 proches aidants par étude (médiane de 24); les personnes aidées étaient des patients avec des handicaps physiques ou des troubles de santé mentale, des patients ayant vécu un AVC, des patients ayant un cancer et des patients vivant avec une démence; Intervention: Plusieurs interventions, incluant la psychoéducation, les groupes de soutien et la psychothérapie; Suivi: Immédiatement après le traitement.
Les proches aidants qui font une psychothérapie sont moins à risque d'avoir des symptômes dépressifs que ceux qui n'en font pas.
Devis : Méta-analyse de 78 études, incluant des études randomisées contrôlées et d'autres devis de recherche, où une condition expérimentale avec traitement était comparée avec une condition contrôle sans traitement; 13 études portaient sur la psychothérapie, incluant 8 études randomisées contrôlées; Participants: Entre 4 et 2 268 proches aidants par étude (médiane de 24); les personnes aidées étaient des patients avec des handicaps physiques ou des troubles de santé mentale, des patients ayant vécu un AVC, des patients ayant un cancer et des patients vivant avec une démence; Intervention: Plusieurs interventions, incluant la psychoéducation, les groupes de soutien et la psychothérapie; Suivi: Immédiatement après le traitement.
Sur 100 proches aidants qui font une psychothérapie, 4 ressentent une amélioration de leur bien-être grâce à la psychothérapie.
Le bien-être est accru chez... | ||
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8% des proches aidants |
4% des proches aidants |
4% des proches aidants |
Avec | Sans | Impact |
Devis : Méta-analyse de 2 études où la psychothérapie était comparée à une condition contrôle sans intervention; Participants: 56 proches aidants de personnes âgées avec des handicaps physiques ou des troubles de santé mentale, des patients ayant vécu un AVC, des patients ayant un cancer et des patients vivant avec une démence; Intervention: Psychothérapie; Suivi : 3 à 12 mois.
Sur 100 personnes qui entreprennent une psychothérapie, 20 abandonnent avant la fin à cause des coûts financiers, de l'absence de résultats, d'une insatisfaction envers la thérapie, d'anxiété vécue pendant la thérapie ou d'un déménagement.
Devis : Revue systématique de 669 études; Participants : 83 834 adultes ayant entamé une intervention psychologique ou psychosociale; Intervention : Intervention psychologique ou psychosociale.
Sur 100 personnes qui font une psychothérapie, de 3 à 16 en subissent des effets néfastes, comme des émotions négatives, de la stigmatisation, des conséquences négatives sur leurs relations interpersonnelles, ou un abus de leur thérapeute.
Devis : Sondage transversal en ligne; Participants : 195 adultes ayant bénéficié d'une psychothérapie pour des problématiques de dépression, d’anxiété, de troubles de la personnalité, de troubles alimentaires, de schizophrénie ou autre; Intervention : Psychothérapie.
Sur 100 personnes qui font une psychothérapie pendant 10 à 20 semaines, 27 rechutent au cours de l'année ou dans les deux années suivant la fin de la thérapie.
Devis : Revue systématique de 10 études randomisées contrôlées; Participants : 1 233 personnes avec une dépression majeure (19-65 ans); Intervention : Psychothérapie, en comparaison avec la pharmacothérapie. Durée de l'intervention : 10 à 20 semaines de psychothérapie ou 8 à 20 semaines de pharmacothérapie; Suivi : 1 à 2 ans.
There are wait lists to consult a psychotherapist in the public sector. Psychotherapy is also offered in the private sector, at a cost of about $100 per session.
Consiste à surveiller l'évolution de votre stress sans entreprendre de changement dans vos habitudes ou sans avoir recours à une option de soutien.
Une proportion de proches aidants qui entreprennent des changements pour réduire leur stress ne ressentent pas d'amélioration. Ils pourraient être déçus que leurs efforts ne leur aient pas permis d'atteindre leurs objectifs. Surveiller l'évolution sans entreprendre de changements leur permet d'éviter d'être déçus.
Toutes les options disponibles pour réduire le stress du proche aidant engendrent des inconvénients. Ces inconvénients sont mentionnés dans les pages précédentes de ce document. Les personnes qui n'entreprennent pas de changement dans leur mode de vie ou qui n'ont pas recours à une option de soutien n'auront pas ces inconvénients.
Les proches aidants de personnes âgées ayant perdu leur indépendance peuvent souhaiter prendre le temps de trouver des solutions par eux-mêmes pour identifier des stratégies qui répondront mieux à leurs besoins, sans pression de l'entourage.
Les proches aidants ont 9% plus de risques de développer des problèmes de santé comparativement aux personnes qui ne sont pas proches aidants. Surveiller l'évolution sans entreprendre de changement augmente donc leurs risques d'avoir des problèmes de santé.
Devis : Méta-analyse de 23 échantillons rapportés dans 45 études quasi expérimentales; Participants : Taille d'échantillon de 3 029 proches aidants de patients vivant avec une démence et des personnes n'étant pas des proches aidants.
Être un proche aidant augmente le risque de mortalité. Surveiller l'évolution du stress du proche aidant sans entreprendre de changement augmente donc ses risques de mortalité.
Devis : Étude longitudinale; Participants : 3 647 proches aidants; Intervention : Aucune intervention; Suivi : À chaque 6 mois pendant en moyenne 5 ans.
Tout estimé d’effet est fortement entaché d’incertitude.
Déclassé en raison de risques de biais (toutes les études présentaient des risques de biais allant de modérés à élevés), d'imprécision et d'hétérogénéité dans l'estimation de l'effet.