Mon compte

L'avantage de créer un compte et de s'y connecter est que vous pourrez conserver les résultats de vos Boîtes à décision pour y revenir plus tard.

Je n'ai pas de compte

Fournissez quelques informations et créer un compte utilisateur qui vous permettra d'enregistrer les Boîtes à décision que vous remplirez pour consultation ultérieure.

Créer mon compte

Mon compte

L'avantage de créer un compte et de s'y connecter est que vous pourrez conserver les résultats de vos Boîtes à décision pour y revenir plus tard.

Créer mon compte utilisateur

Vous devez saisir un nom d'utilisateur
Veuillez saisir un mot de passe
Les deux mots de passe ne correspondent pas

Soutenir le proche aidant

Les options pour soutenir le proche aidant d'un aîné présentant des troubles de mémoire et d'attention

Les options pour soutenir le proche aidant d'un aîné présentant des troubles neurocognitifs

                                

  • Les défis et les besoins du proche aidantEn savoir plus
    • Au début : encaisser le choc du diagnostic, comprendre la maladie de la personne dont on s'occupe, trou- ver des stratégies d’adaptation comprenant l’adaptation du domicile, planifier les aspects légaux en prévision de l’inaptitude, soutenir la personne dont on s'occupe dans la réalisation de ses souhaits de fin de vie. 
    • Ensuite : gérer de multiples dossiers fiscaux/légaux/financiers, gérer les symptômes de la maladie, gérer la médication, gérer son stress et imposer ses limites, accepter l’aide extérieure et profiter de périodes de répit. 
    • À la fin : bénéficier de soutien et de références en vue de l’hébergement, gérer les pertes et les réactions familiales, assurer une fin de vie qui respecte les priorités de la personne.
  • Proches aidants qui pourraient considérer recourir à du soutien:En savoir plus

    Tous les proches aidants d’aînés qui présentent des troubles de la mémoire et de l’attention, en particulier les proches aidants qui: 

    • s’occupent d’un aîné qui présente des troubles plus sévères, (p. ex. avec agitation, désinhibition, agressivité ou limites fonctionnelles importantes) 
    • sont plus âgés
    • sont des femmes (car la recherche montre qu’elles sont plus à risque d’épuisement) 
    • ont des problèmes de santé physique ou mentale 
    • n’ont pas de réseau familiale  
    • vivent une situation financière précaire
  • L’histoire de Madame LatulippeEn savoir plus

    «Depuis le diagnostic de la maladie d’Alzheimer de mon conjoint, je vis dans la peur que quelque chose lui arrive. J'avais de la difficulté à dormir, je me sentais fatiguée, et je perdais patience facilement, pour des petites choses. Puis, ma voisine qui a vécu la même chose il y a quelques années est venue m’apporter de la soupe et prendre de mes nouvelles. Elle m’a alors parlé d’un organisme qui offre du soutien aux proches aidants, dans ma région. J’ai profité de plusieurs services qui m’ont offert du répit et je me sens maintenant moins seule et moins fatiguée. Je me sens aussi plus compétente pour bien m’occuper de mon conjoint, grâce à l’aide et aux conseils que j’ai reçus. J’ai même retrouvé du temps pour prendre soin de moi et je l’apprécie beaucoup.»

  • Les proches aidants doivent exprimer clairement ce qu’ils préfèrent, car:En savoir plus
    • Plusieurs options de soutien sont disponibles; 
    • Il y a des avantages et des inconvénients à la plupart de ces options; 
    • Il y a un manque d’information scientifiques sur l’efficacité de plusieurs options; 
    • Même si plusieurs options de soutien existent, un proche aidant peut décider de ne pas y avoir recours. Ce choix est également acceptable.
Nous recommandons que:

Nous recommandons que:

  1. La décision tienne compte des valeurs et priorités du proche aidant 
  2. Le professionnel de la santé partage la prise de décision avec le proche aidant

Version 1