L'avantage de créer un compte et de s'y connecter est que vous pourrez conserver les résultats de vos Boîtes à décision pour y revenir plus tard.
Fournissez quelques informations et créer un compte utilisateur qui vous permettra d'enregistrer les Boîtes à décision que vous remplirez pour consultation ultérieure.
Créer mon compteL'avantage de créer un compte et de s'y connecter est que vous pourrez conserver les résultats de vos Boîtes à décision pour y revenir plus tard.
Pour chaque 1 000 hommes dépistés, environ 1 décès dû au cancer de la prostate est évité grâce au dépistage (0.1%).
Le décès est évité pour... | ||
---|---|---|
99,5% des hommes |
99,6% des hommes |
0,1% des hommes |
Avec | Sans | Impact |
Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).
Pour chaque 1 000 hommes dépistés, environ 760 ont un résultat de dépistage négatif. Ces hommes sont initialement rassurés.
Le sentiment d'être rassuré est ressenti par... | ||
---|---|---|
76% des hommes |
0% des hommes |
76% des hommes |
Avec | Sans | Impact |
Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).
Pour chaque 1000 hommes dépistés, environ 100 ont un diagnostic de cancer de la prostate. Le cancer est en moyenne moins sévère chez ces hommes comparativement aux hommes n’ayant pas fait de dépistage.
Recevoir des traitement précocément est possible pour... | ||
---|---|---|
10% des hommes |
0% des hommes |
10% des hommes |
Avec | Sans | Impact |
Schröder et al. [2014]. Lancet 384(9959):2027-2035.
Devis: Randomized multi-center trial; Participants: 162,243 men between the ages of 55 and 69 from 7 countries in Europe; Intervention: PSA screening, on average twice over a 13-year period (PSA cut-off level: 3-4 ng/mL).
Parmi les 760 hommes qui ont un dépistage négatif, environ 27 ont tout de même un cancer de la prostate. Ces hommes auront été faussement rassurés.
Le sentiment d'être faussement rassuré est ressenti par... | ||
---|---|---|
27% des 1 000 hommes qui font le dépistage |
0% des 1,000 qui ne font pas le dépistage |
27% des hommes |
Avec | Sans | Impact |
Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).
Pour chaque 1 000 hommes dépistés, environ 240 nécessitent un test supplémentaire pour confirmer la présence d'un cancer de la prostate. Parmi ceux-ci, environ 140 auront été faussement alertés, car ils n'ont pas de cancer. Ces personnes auront ressenti de l'anxiété inutilement.
Parmi les 140 hommes faussement alertés, environ 120 subissent une biopsie inutile, pour vérifier le diagnostic. Sur ces 120 personnes:
La fausse alerte est vécue par... | ||
---|---|---|
14% des hommes |
0% des hommes |
14% des hommes |
Avec | Sans | Impact |
Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).
Pour chaque 1 000 hommes dépistés, environ 100 ont un diagnostic du cancer de la prostate confirmé à la suite d'un dépistage et la majorité est traitée.
Sur ces 100 hommes dont le diagnostic est confirmé, environ 40 n'auraient jamais su qu'ils avaient un cancer s'ils n'avaient pas été dépistés. Le surdiagnostic est le fait de découvrir un cancer qui aurait jamais été détecté sans le dépistage. Ce cancer n'aurait jamais eu de conséquence sur la santé ou sur la vie de la personne. S'ils décidaient d'être traités, ces 40 hommes pourraient subir les effets néfastes de traitements inutiles tels que l'impuissance et les pertes d'urine incommodantes.
Le surdiagnostic est vécu par.... | ||
---|---|---|
4% des hommes dépistés |
0% des hommes non-dépistés |
4% des hommes |
Avec | Sans | Impact |
Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).
Sur 1000 hommes ayant choisi de ne pas faire le dépistage, 932 n’auront pas de cancer de la prostate. Ces hommes n’auront pas fait de test de dépistage inutile, ni de biopsie pour vérifier s’ils avaient vraiment le cancer.
Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).
Les hommes évitent l'anxiété causée par l'attente des résultats du dépistage et le stress de l'attente des résultats de biopsies.
Sur 1 000 hommes ayant choisi de ne pas faire le dépistage, environ 40 évitent un surdiagnostic et éviteront les traitements et leurs complications.
Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).
Sur 1 000 hommes qui ont choisi de ne pas faire le dépistage, 6 décèdent du cancer de la prostate. Parmi ces 6 hommes, 1 aurait pu éviter de mourir du cancer de la prostate s'il avait décidé de faire le dépistage et d'avoir les traitements.
Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).
Pour chaque 1000 hommes qui ont choisi de ne pas faire le dépistage, 68 ont diagnostic de cancer après l'apparition des symptômes. Le cancer est en moyenne plus sévère chez ces hommes comparativement aux hommes ayant fait le dépistage.
Devis: essai clinique à répartition aléatoire; Participants: 162 243 hommes âgés de 55 à 69 ans provenant de 7 pays européens; Intervention: Dépistage par le test de dosage de l'APS, en moyenne deux fois au cours d'un suivi de 13 ans (seuil d’APS utilisé : 3-4 ng/mL).
De nouvelles recherches pourraient avoir un impact important sur l’estimé de l’effet et pourraient le modifier.
Cette étude présente un risque élevé de biais.